Pona Mboka : 300 femmes formées en pâtisserie pour le développement du capital humain

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Developpement du capital humain : Pourquoi le mouvement citoyen Pona Mboka a financé la formation de près de 300 femmes en pâtisserie ? (Tribune de Grâce EBUWE)

‎Aucune nation n’a connu un développement durable sans investir dans le développement du capital humain. Lorsqu’on donne les outils adéquats au peuple, le processus vers le développement s’automatise.

‎C’est effectivement dans ce cadre que nous avons établi un programme de développement du capital humain au sein de notre mouvement citoyen PONA MBOKA en vue de contribuer, tant soit peu ou prou, au renforcement des capacités de nos citoyens afin de leur rendre utile à la nation.

‎Pourquoi nous avons ciblé la pâtisserie et les femmes en premier lieu?

‎Ce qu’il faut savoir est que le mouvement PONA MBOKA est d’abord un cercle réunissant en son sein plusieurs opérateurs économiques assidus avec une maîtrise du marché congolais. Ce faisant, nous savons que s’il y a un marché dans la ville de Kinshasa qui ne manque pas de la demande c’est le marché alimentaire : chaque matin, un kinois cherche soit du pain, soit du gâteau ou parfois des beignets.

‎Nous avons donc choisi de financer une formation ayant un débouché sûr, plutôt qu’une formation dont la demande serait incertaine. Tout est stratégie!

‎Pourquoi les jeunes filles et mamans? C’est très simple, lorsqu’une société est composée des femmes compétentes et aptes au travail, le développement durable est assuré.

‎Elles portent le poids de nos familles respectives. Elles ont le cœur pour nourrir et leurs enfants, et leurs époux, et leurs familles. Elles peuvent donc facilement faire vivre toute une nation.

Nous sommes convaincus qu’avec la remise des matériels dont elles ont bénéficié, ces mamans feront preuve de courage pour démarrer leurs activités génératrices de revenus, en travaillant pour bâtir des entreprises durables.

‎Au demeurant, nous leur avons conseillé de privilégier la création des consortiums. C’est-à-dire des associations ou mutuelles leur permettant de produire et vendre ensemble. Avec leurs faibles capitaux, elles seront plus efficaces en travaillant ensemble.

‎Nous leur avons aussi dit que même un immeuble de 150 étages démarre avec la pose d’une brique, et qu’elles ne doivent donc pas sous-estimer le faible commencement.

‎Notre mouvement ne s’arrête pas là. Nous avons d’autres programmes en préparation, d’ici peu ils seront exécutés au profit de notre peuple.

‎Grace Ebuwe/Président du mouvement citoyen Pona Mboka

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